En choisissant d’écrire en 2014 mon mémoire sur la Thérapie Assistée par l’Animal (T.A.A) j’ai appris que l’étymologie du mot « animal » vient du latin anima qui signifie le souffle vital, l’âme, le psychisme.

L’animal peut se manifester comme un être aimant et réconfortant à certains moments de la vie et du travail ici proposé. Il peut constituer un Espace Transitionnel qui permet de dire et de vivre l’attachement, le toucher, l’empathie, l’inconditionnel, et une multitude d’autres clés thérapeutiques qui peuvent apporter une ouverture de cœur supplémentaire.

Ainsi, dans mon cabinet, il se peut que vous croisiez en plus de mon regard et de mon écoute, ceux de mes chats. J’ai choisi de pratiquer et de recevoir dans cet espace, pleinement consciente et confiante en l’approche subtile de l’animal. J’y observe un dialogue particulier que je vous offre la curiosité de découvrir.

Je dispose d’un espace thérapeutique avec leur présence :

22 rue du Printemps : Si vous choisissez de consulter dans l’espace où mes deux chats vivent, vous pourrez aussi confirmer cette approche – ou pas

Ces deux chats que je m’amuse à appeler les psy-chats-analystes font partie de mon univers depuis une douzaine d’année. Ils ont été adoptés dans une famille d’accueil. Leur maman avait eu une portée de cinq chatons et le choix d’en adopter deux à ce moment-là reste encore mystérieux. Un appel sans aucun doute.

Le mâle Djinji signifie « rouquin » en hébreu, et la femelle ZhiZu, « sagesse » en chinois. Leur place est assurée au sein du cabinet ils savent être discrets et présents en même temps. La justesse du comportement de l’animal est absolue et dépasse parfois celle de l’humain. Le discernement est instinctif.

Ne soyez donc pas étonnés si Djinji vient vous accueillir dans la salle d’attente et si ZhiZu intervient pour sonner la fin de la séance.